En t'appelant
Je me rappele
Lentement
De tout cela :
De la nuit,
De l’embrasse,
De la vie,
De la vue,
Du voile,
De la chambre
De la chandelle,
De la
nouvelle,
De la musique,
De la muse –
La muse devant
moi,
Devant me
yeux,
Devant mes
mains.
La muse,
Je l’ai
touché.
Je
Lentement
L’ai touché
Déplaçant des pieds
jusques à la tête.
Je
Lentement
M’ai déplace
De l’âbime
profond jusqu’au plus haut du ciel...
Je tremblais,
Je vibrais,
Je me réjouissais
Et, alors,
Je t’ai
embrassé
Le plus fort,
Le plus
chaleureux,
Le plus tendre,
Le plus beaux;
Et, alors,
Le ciel a
devenu insuffisant,
Rien de rien,
Y j’avait
Besoin des
mots qu’il n’exist encore,
Des mots que
vole comme une phalène,
Des mots qu’il
n’y avait pas :
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